La vitamine D3 (végétale ou d’origine animale) possède de nombreux bienfaits souvent négligés par les thérapeutes ainsi il faut savoir qu’une carence en vitamine D3 peut avoir des conséquences très gênantes. Saviez-vous que nous serions environ 90% des français à être en carence de vitamine D en hiver ?! Les chiffres parlent pour nous 🙂
La vitamine D est à l’origine de nombreux mécanismes biologiques et est essentielle afin de maintenir l’état de santé général de notre organisme. La synthèse de la vitamine D se fait par notre organisme majoritairement suite à une exposition à la lumière solaire. Cependant, certains facteurs perturbent la production cutanée de vitamine D : ensoleillement hivernal, recours à la crème solaire, pigmentation de la peau ou encore le vieillissement cutané.
Une supplémentation en vitamine D3 (végétale ou d’origine animale) devient donc nécessaire car notre alimentation en apporte à dose très faible. Comment savoir si on se trouve en carence de vitamine D ? Si c’est le cas comment bien choisir la vitamine D3 : végétale ou animale ?
Pourquoi faut-il se supplémenter en vitamine D3 ?
En hiver, 8 à 9 Français sur 10 manqueraient de vitamine D. En effet, la peau synthétise facilement cette vitamine au printemps et en été sous l’effet des UV solaires. Mais l’hiver (de novembre à mars), l’inclinaison des rayons solaires ne permet plus cette synthèse à nos latitudes. Conséquence, la carence de vitamine D se fait importante l’hiver.
Pour maintenir pendant l’hiver des taux de vitamine D sanguins supérieurs à 30 ng/mL, l’alimentation ne suffit pas et il est nécessaire d’ingérer en moyenne 1000 UI de vitamine D3 par jour en supplémentation.
De plus, certaines personnes présentent des risques plus importants de carence de vitamine D :
- Les personnes âgées
- Les personnes obèses
- Les femmes enceintes
- Les personnes dont la peau est sombre
- Celles qui ne s’exposent jamais au soleil ou portent systématiquement des vêtements couvrants
- Les personnes souffrant de douleurs diffuses chroniques (comme celles de la fibromyalgie par exemple)
- Les personnes atteintes de maladie auto-immune, souffrant de malabsorption intestinale.
- Celles qui prennent des médicaments troublant le métabolisme de la vitamine D ou augmentant le risque de déminéralisation osseuse
Un taux correct de vitamine D (aux alentours de 30 ng/mL de sang) est nécessaire pour être en bonne santé en général, et plus particulièrement pour maintenir un système immunitaire de qualité (et donc éviter des infections comme la grippe), prévenir les fractures et les douleurs diffuses chroniques.
Quels sont les bienfaits de la vitamine D ?
- La lutte contre les infections notamment hivernales
- L’absorption intestinale du calcium et du phosphore
- La protection contre l’athérome et les affections cardio-vasculaires.
- La prévention du diabète de type 1 (diabète juvénile) et de la sclérose en plaques.
- La prévention du rachitisme chez l’enfant, de l’ostéomalacie chez la personne âgée et de l’ostéoporose post-ménopausique.
Voici les allégations de santé officielles concernant les bienfaits de la vitamine D* :
• La vitamine D contribue à l’absorption et à l’utilisation normale du calcium et du phosphore.
• La vitamine D contribue à une calcémie normale.
• La vitamine D contribue au maintien d’une ossature normale.
• La vitamine D contribue au maintien d’une fonction musculaire normale.
• La vitamine D contribue au maintien d’une dentition normale.
• La vitamine D contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.
*Règlement européen n°432/2012 du 16 mai 2012 pris en application du Règlement 1924/2006 du 20 décembre 2006. Liste des allégations de santé autorisées portant sur les denrées alimentaires entrée en application.
Quels sont les meilleures sources de vitamine D dans notre alimentation ?
- Huile de foie de morue : 200 µg pour 100 g (d’autres huiles de poisson (thon, maquereau, saumon) sont 10 à 20 fois plus concentré que l’huile de foie de morue, mais elles sont d’une consommation plus rare que celle de foie de morue)
- Espadon : environ 15 à 25 µg pour 100 g
- Saumon : environ 8 à 15 µg pour 100 g
- Thon, truite, hareng : 6 à 12 µg pour 100 g
- Sardine : environ 5 µg pour 100 g
- Champignons séchés : 3 à 4 µg pour 100 g (shiitaké)
- Oeuf (jaune d’œuf) : 3 µg (pour 2 gros oeufs)
- Foie de veau, foie de boeuf : aux alentours de 1 à 1,20 µg pour 100 g
Quelle forme de vitamine D choisir en complément alimentaire ?
La vitamine D2 ou ergocalciférol est d’origine végétale. La vitamine D3 (cholécalciférol) est la forme naturellement synthétisée par la peau sous l’action du soleil.
Plusieurs études ont montré que la vitamine D3 est la forme la plus stable et la plus biodisponible pour l’organisme. Il est donc préférable de privilégier cette forme mais le soucis est que pendant les mois d’hiver, le bain de soleil se fait rare. C’est pourquoi il est préférable pour être sûr de ne pas être en carence de vitamine D, de se supplémenter en complément alimentaire à base de vitamine D3.
Personnellement, je recommande particulièrement la vitamine D3 100% végan, car 100% végétale issue de lichen de chez ANASTORE. Le lichen possède une des meilleures concentrations en vitamine D3.
Je prends la vitamine D3 végétale d’ANASTORE à 14 € les 60 gélules (équivaut à une cure de 2 mois) sous forme de gélule, car son dosage est plus facile à gérer que en flacon..
Utilisation conseillée : 1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d’eau, après les repas (25 μg de vitamine D3 d’origine végétale (lichen)) (sous forme de cholécalciférol)
Ainsi vous vous assurez d’avoir le taux de vitamine D3 nécessaire au bon fonctionnement de votre organisme.
1 gélule par jour = dose suffisante pour pallier à la carence de vitamine D
(Non recommandé aux femmes enceintes ou allaitantes)
Le risque de surdosage par exposition solaire n’existe pas : la peau cesse de la synthétiser lorsque le taux de vitamine D atteint une valeur suffisante.Par l’alimentation (aliments enrichis ou compléments), il n’y aurait pas de risque de surdosage jusqu’à au moins 4000 UI/j de vitamine D (Heaney, 2011) et (Bischoff-Ferrari, 2006), mais il semble prudent, en attendant que la limite supérieure ait été déterminée avec plus de précision de se limiter à un apport de 1000 UI/j (25 µg/j).